| Monsieur Jean-Louis FERAILLE Jean-Louis mon ami et collègue, C’est avec grande tristesse que j’ai appris ton décès ce 14 Décembre 2020. Tu pars avant moi, bien trop tôt, bien trop vite ... Et ta disparition nous rappelle à tous comme une évidence que nous sommes finalement bien peu de choses et qu’il faut profiter de chaque instant, chaque minute, chaque seconde ici-bas. Pendant plus de dix ans au seing de la « Section Recherches » de la défunte Gendarmerie à la brigade de Seraing j’ai eu le plaisir de te compter parmi mes proches collaborateurs. Et il me plait ici de rappeler ta réponse téléphonique favorite :
« Bonjour, Jean-Louis FERAILLE de la section qui trouve ….. »
Et oui tu avais raison, nous étions, toi et nos autres collaborateurs et amis d’excellents enquêteurs. Hélas suite à ma nomination en 1990 j’ai dû quitter notre service et la brigade Seraing pour la brigade de Liège et du fait des aléas du service nous nous sommes perdus de vue. Il y a environ cinq ans nous nous sommes rencontrés au CHU et c’est avec plaisir et nostalgie que nous avons évoqués nos souvenirs. C’est aussi lors de cette rencontre que j’ai appris le décès prématuré de Myriam mais aussi et surtout que tu avais transféré tes pénates à Vielsalm pour être auprès de tes enfants et tu semblais heureux de cette situation. Jean-Louis, tu vas maintenant retrouver Myriam, trop tôt pour ta famille certes mais la mort fait partie de la vie, aussi repose en paix auprès des tiens. A la famille de Jean-Louis, je dirai que oui, il est décédé, mais regardez bien le ciel, et pensez que les étoiles ne sont peut-être pas que des étoiles, mais des fenêtres par lesquelles Jean-Louis veille sur vous et vos familles. Acceptez mes condoléances les plus sincères et que dire face à ce genre de situation, rien, sinon que «courage », le temps arrange bien des choses, il n’enlèvera pas le souvenir mais atténuera la peine
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