Hommage
Florent,
Voilà près d'un demi-siècle que je te connais.
Après avoir souffert dans les camps de travail durant la guerre, tu as du vivre avec les stygmates qui t'isolaient un peu des fracas de la vie moderne, je veux parler de ta malentendance.
Cela ne t'a pas empêché d'hautement seconder ton frère Jules dans votre mission de divertissement au ciné Lido, durant les années d'or de Vielsalm.
Les décennies qui ont suivi, t'accompagnèrent vers une retraite paisible.
Comme la devise Québecquoise, je me souviens!
A travers mes pensées et mes photos, je ne t'oublierai jamais.
Patrick
Patrick Van de Voorde- 26-11-09